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L'Aïkido - un art martial moderne et inclusif

L’aïkido est un art martial d'origine japonaise désormais bien ancré dans l'actualité, il transcende les différences (culturelles, religieuses, physiques, etc.) en promouvant des valeurs d’inclusion au delà des traditions japonaises. L’aïkido a su évoluer pour devenir un exemple exceptionnel d’harmonie et de respect mutuel dans le cadre d'une pratique moderne et dépouillé de sa dimension spirituelle.

 

L’une des valeurs centrales de l’aïkido est l’inclusion ; Nous accueillons des personnes de tous sexes, toutes origines, âges, croyances et niveaux de compétence. C'est une pratique qui encourage l’interaction entre des individus aux antécédents divers, favorisant ainsi un esprit de compréhension et de tolérance. En aïkido, chacun est encouragé à s’améliorer à son propre rythme, dans un environnement bienveillant. C’est un travail sur soi mais avec l'autre.

 

Même si certains de par le monde y voient le prolongement d'une spiritualité orientale, les clubs du collectif EATA restent fidèles aux principes de la société moderne qui se veut non discriminatoire et laïque.

L’aïkido est "un terrain neutre" où les pratiquant-e-s peuvent se réunir sans craindre de conflits. L’aïkido se concentre sur des principes universels tels que l’harmonie, la non-violence et le respect.

 

L’aïkido veut également enseigner la résolution pacifique des conflits. Plutôt que de répondre à l’agression par la force brute, les pratiquants apprennent à utiliser l’énergie de l'adversaire pour le neutraliser tout en minimisant les dommages. Cette philosophie s’étend au-delà du tatami, encourageant une approche non violente des différends dans la vie quotidienne.

 

Notre discipline va au-delà de la simple pratique physique,  elle incarne des valeurs se réclamant de la tolérance et de pacifisme, en faisant un exemple précieux de ce que l’harmonie entre les individus peut accomplir.

Peu importe notre origine ou nos croyances, chacune/chacun en montant sur le tatami, se déleste de ses préjugés ou de ses complexes, libre ensuite à elle/lui de les endosser de nouveau en sortant du dojo.